floxymore

le bordel de mes amours

Mardi 5 octobre 2010 à 22:09


"Ce qui n'existe pas existe" affirmation faite dans "la nuit des temps" par Barjavel.
ainsi, je conçois que les sentiments, la douleur ou la joie, l'amour, l'attachement, le lien ou encore la haine sont fluctuants et puissent naître de quelque part.
mais alors sont ils là dès le début en potentialité.
et quand bien même serait-ce un potentiel à développer ou en perpétuel développement, où cela va t il après, quand s'achève ou que le lien se fend?
nous ressentons bien que cela peut changer, parfois disparaître, d'autres fois se modifier. mais que ce que l'on appelle amour s'érode et se dissipe, si ce qui n'existe pas existe, alors où cela est-il? où cela va t-il?
comment cela s'en va?

le vide n'est jamais vide mais plein de quelque chose
plein de vide ou vide de plein au choix
ainsi, où nous croyons que ce quelque chose n'existe pas, il existe
et lorsque nous croyons évoluer ou que les choses vont et viennent, ce que nous croyons ne pas exister naît de ce que nous croyons le néant, et ce que nous croyons se dissiper retourne peut être à ce néant qui nous ne connaissons, mais qui pourrait bien être justement quelque chose.

un peu comme si il nous manquait une dimension à la perception aux va et vient de notre âme, et aux dissipations de nos brumes et brouillards.

se puisse t il que quelque chose naisse du néant?
ou rien ne pouvant émerger de rien, y aurait il alors quelque chose?

cependant il me semble que nommant le signifié "rien" de ce mot de 2 syllabes que constitue son signifiant, il donne une existence, ainsi, du fait même que nous puissions le nommer, nous donnons existence au "rien". ne nous reste qu'à le définir mais il est au moins 4 lettre qui prennent plusieurs de la place sur cette feuille virtuelle.



Lundi 13 septembre 2010 à 23:58

 "Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai compris qu'en toute circonstances, J'étais à la bonne place, au bon moment. Et, alors, j'ai pu me relaxer. Aujourd'hui je sais que ça s'appelle...

Estime de soi

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle, n'était rien d'autre qu'un signal quand je vais contre mes convictions. 
Aujourd'hui je sais que ça s'appelle...
Authenticité.
 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé de vouloir une vie différente et j'ai commencé à voir que tout ce qui m'arrive, contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle...
Maturité.
 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai commencé à percevoir l'abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne, dans le seul but d'obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n'est pas le moment...
Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle...
Respect.
 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m'était pas salutaire ... Personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l'égoïsme. 
Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle...
Amour Propre

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l'avenir. Aujourd'hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. 
Aujourd'hui, je vis une seule journée à la fois.
Et ça s'appelle...
Plénitude.
 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon coeur, elle devient un allié très précieux. 
Tout ceci est....

 

Savoir vivre

 

 

 

 

 

 

 

Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter... 
...Du chaos naissent les étoiles."

Le  jour où je me suis aimé pour vrai
Charles Chaplin

Mercredi 10 mars 2010 à 13:04

 je voudrais être avec
quelqu'un qui a
de la place pour moi
dans son coeur

Mercredi 10 mars 2010 à 12:09

 "tu n'as quà ma kiter par
sms puiske c cke tu ve"

qui es tu pour savoir ce que je veux?
moi c'est tout ce que j'ai envie de te dire
j'ai besoin de temps et d'espace
et j'arrive pas à te le formuler
sans avoir l'impression de te blesser
ou de te faire souffrir
si je prends des jours "libres"
c'est pas pour que tu me "pourrisses"
au téléphone
moi je te laisse tranquille
je gères mes angoisses
et pis j'arrive meme à 
m'apaiser

un incommensurable plaisir
de t'entendre m'a envahi
combien tu m'as manqué
m'a transcendé
mais si vite flétri par tes attentes
auxquelles je ne suis jamais à la hauteur

faudrait que je sois opérationnelle 
36 heures sur 24
pour tes beaux yeux
et Dieu sait à quel point 
ils me sont précieux

bien sure que j'ai envie 
d'être là pour toi
mais à force de me reprocher de ne pas l'être
ou de ne jamais faire assez
ca donne plus envie
on perd le gout des choses qu'on ferait naturellement

je sais qu'on respire
sans meme y réflechir
mais je voudrais juste vivre moi
et c'est bien plus compliqué
qu'il n'y parait


comment je fais pour aimer
et etre heureuse
avec quelqu'un dont le coeur
est plein d'une autre

et pourquoi me demander tant à moi
alors que toi tu ne m'aimes pas?
au nom de l'amour que je te portes?
parce que je t'aime je devrais m'annihiler?
c'est ca l'amour?
parce qu'y a plus de grand A maintenant.....

j'ai tellement envie
de tout envoyer promener
juste pour me prouver que je peux encore le faire
c'est pas une preuve de maturité et alors?
subir sa vie vous croyez que c'est mature vous?





Mardi 9 mars 2010 à 22:54

 quand on sait pas ce qu'on veut
ni ou on veut aller
ca sert à quoi?


quand on arrive pas dire 
ce dont on a envie
ou à penser qu'on le mérite
ni qu'on a le droit de dire
quand on se sent ni légitime 
ni entendue
ou comprise
on a souvent l'impression
de se taper contre les murs

quand l'autre nous juge pour ne pas se voir
quand il faut écouter toujours
et être là
alors qu'on est toute seule

j'aurais jamais plus la tete sous l'eau
à cause d'autrui
et je ne me la mettrai plus jamais moi meme

y a pas de réponses à mes questions
si ce n'est ne pas les chercher
j'ai qu'à estimer que j'ai ma place
et la prendre
et si personne ne le comprend
pourquoi devrais je me casser le cul
à essayer de comprendre l'autre

pourquoi être touchée
des reproches de l'autre
sur un sujet dont je me fous
pourquoi prendre toujours tout mal
ou à sur la défensive
pourquoi se sentir toujours stupide
dans sa bouche condescendante
et ses yeux méprisants
parfois si pleins d'affection
ou serait ce autre chose???

j'en ai marre qu'on me demande toujours plus
alors qu'on m'aime meme pas
de quel droit
devrais je combler tous ses  vides
quand elle me met allègrement
devant tout ce qui ne sera pas 
de ce que je veux?

au nom de qui devrais je encore m'oublier?
pour le bonheur de qui?
qui a le droit de dire que sa vie, son bonheur, 
son bien etre importe plus que ceux d'autrui?


j'ai le droit d'exister
et si ca vous chier
ben allez y ailleurs




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